2010.11.31(suite)

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Puis avant l'heure de fermeture, vite au musée historique qui fait aussi la promotion du savoir-faire de chicagolais. Les mots premier, plus et autres superlatifs y ont la vedette. De la pénicilline aux grattes-ciel, on doit beaucoup à cette ville qui elle doit son nom à un poireau vivant à l'état sauvage à cet endroit et non à un grand chef amérindien......On m'a aussi rappelé que les premiers blancs à avoir bivouaqué sur le bord de la rivière Chicago furent le français Jacques Marquette et le canadien-français Louis Jolliet, l'un jésuite, l'autre explorateur, coureur des bois et marchand de fourrure. Ils y ont laissé des traces étonnantes dont une ville du nom de Jolliet tout près de Chicago.

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Samarcande 2008.12.20 AM

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Rafiq avait décidé que nous irions a Urgut a envıron 50 km de Samarcande envers et contre tous. A mi-chemin, nous avons fait un superbe tête a queue, mais il a eu raison de persister car les conditions routières se sont améliorées et a la fin de la journée nous étions sur pavé humide. De plus voyez ce que nous aurions manqué. -- Louise Bérubé www.louiseberube.com
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2010.10.28

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License Silence Ce matin, j'ai pas grand chance de croiser comme hier ce jeune athlète à l'entrainement, torse nu et shorts blanches. Aujourd'hui retour à la normal question température avec en prime le vent persistant: des conditions qui justifient mon choix de vêtements pour ce voyage à Chicago. Après une rencontre avec les idées de Louis Sullivan au Centre culturel de Chicago, je constate qu'il a laissé sa trace. Même la poignée de porte du restaurant de la '' Petite Italie'' ou je suis allée à l'heure du lunch porte sa signature. Puise je traverse le quartier Pilsen pour enfin me rendre au musée Jane Addams.Trop tard, il ferme à 16h. Par les fenênetres, je regarde l'intérieur du petit musée de cette grande dame prix Nobel de la paix en 1931.
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